Il
est encore tôt pour estimer quelles seront les conséquences
apportées par le nouveau régime fiscal italien.
Il résume à travers cette déclaration, une prospective négative partagée par beaucoup d'autres professionnels du nautisme :
« Nous
aurons 600 millions de pertes sur les recettes touristiques et
également sur les services techniques ( cette-à-dire les
mouillages, les réparations etc..)
La
réduction des activités artisanales causera des licenciements et
les pertes atteindront le million d'euros. »Ne s'agit-il vraiment que d'un régime récessif, celui qui à été mis en place par le Gouvernement Monti ?
Il est vrai que les touristes étrangers seront découragés à stationner sur les cotes italiennes pour des longues périodes. Les italiens aussi sont entrain annuler leurs contrats avec les ports, en libérant ainsi leur place.
Le
gouvernement comprend la valeur de ce secteur de l’économie, mais
tous les italiens, pas seulement les pratiquants de nautisme, sont
appelés à répondre au défis que la crise économique à imposé à
l'Italie.
Il
faut certainement apporter des modifications à cette manœuvre afin
de ne pas nuire à un secteur qui est le fleuron de l'Italie, dans le
monde entier.Comme réponse à ceux qui accusent cette manœuvre de ne pas être équitable, il faut au moins leur rappeler que la manœuvre économique à touché gravement les classes moyennes dont le revenu annuel est environ de € 18.873. Avec un revenu de cette consistance ils ne pourront pas se permettre des bateaux de luxe !
Pourtant ce sont eux les contributeurs majeurs du nouveau régime fiscal.
Les
nouvelles impositions concernent donc toute la population et
tous les italiens vont faire des sacrifices, car l'objectif est celui
de l’équilibre du bilan d’ici fin 2013.
Le
nautisme subira des pertes en ce qui concerne les services portuaires
mais il pourra également bénéficier d'une reprise grâce à
l'export, qui a produit
58,1% du profit de la production nationale en 2011.